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Qui sommes-nous ?

Pour me faire part de votre projet de stage 

ou pour louer le gîte et le couvert, je suis à disposition
06.45.56.12.83 ou par mail arikfpalmer@gmail.com

Arik Palmer

Peintre et sculpteur de formation et métier, j'ai choisi de poursuivre mon chemin de vie en bonne compagnie de la nature. Ce projet de rénovation d'une ferme bugiste se veut être en faveur de l'accueil, du partage et la transmission de savoir interpersonnel. Afin de porter plus loin l'enthousiasme d'expériences partagées, Terra Artemisia est un lieu inspirant pour accueillir des groupes... Alors que dire si ce n'est Bienvenue!

Terra Artemisia est né de la fusion de deux visions complémentaires qui demandaient un lieu et donc une rénovation ; ce fut  une vielle ferme à tabac dans un hameau bugiste à mi-chemin entre Genève et Lyon. Le temps de prendre soin de la mise en oeuvre, de penser les espaces de vie et de travail, de faire le choix des matériaux, de créer les formes et les couleurs, sans oublier le temps consacré aux plantations et autres espaces extérieurs… le temps de soigner tout cela et permettre une expérience de qualité pour nos visiteurs(euses) et voilà que Terra Atemisia est là !

Rêve réalisé, Terra Artemisia a pris son envol au service du soin du corps et de l’esprit, pour favoriser la créativité en chacun de nous, pour partager et transmettre son expérience et son savoir.

Terra Artemisia respecte l’écosystème qui le nourrit et l’abrite, et propose un mode de vie en cohésion avec son environnement.

 

 

Terra Artemisia répond aux besoins d’accueil adaptés et adaptables à l’univers de chaque projet de formation et autres activités demandant une immersion en pension complète.

Les espaces, les chambres à couche, les salles de bain, les pièces à vivre et les salles de travail, l’environnement extérieur, le repas ont été pensés pour vous satisfaire.  

Bienvenue sur La Terre d’Artemis

808080+
Espèces végétales
80+
Années de rénovation
808080 m2
Espaces intérieurs
8080808080m2
Espaces extérieurs
Terra Artemisia

Les étapes du projet

Après une recherche de quelques mois de la perle rare – de l’écrin pouvant accueillir le projet Terra Artemisia, l’ancienne ferme à tabac aux abords des rives du Rhône et lovée entre les forets d’acacias, s’est imposée comme une évidence. Au printemps 2014, l’unique clé bleue nous est remise par le notaire.

La maison était là pour accueillir notre projet. Elle serait un lieu d’accueil au service de l’humain et de son développement psycho-corporel et créatif. Dans un environnement de nature propice à la rencontre et à l’échange, la maison nous a ouvert ses portes, complice de notre rêve devenant réalité.

Les bâtiments étaient dans leur jus ! Un jus fais des kyrielles de reliques d’un passé agricole vieux de deux siècles au moins et pas mal de toiles d’araignées, de souris, d’oiseaux et de quelques autre passagers clandestins.

A vrai dire, les premières pierres de la maison furent posées à la fin du 18e siècle pour une résidence secondaire, un lieu de villégiature en rase campagne. Acquise par une famille paysanne à la fin du même siècle, son histoire resta liée à l’agriculture et à l’élevage jusqu’à notre arrivée dans le Bugey.

Au début, au tout début, après avoir fait un peu de rangement et de «déblayage», le temps vint de nous installer dans la partie habitable. Vétuste et pleine de courants d’air, la maison s’est calfeutrée et assainie, un geste après l’autre. Beaucoup de murs sont tombés, et de nouveaux ont été érigés, redistribuant l’espace intérieur pour une nouvelle vie.

En filigrane des ces réfections, les premiers chantiers de rénovation des pièces et salles de travail furent menés de front à partir de 2016. Les espaces extérieurs devaient aussi recevoir soin et attention pour entrer dans cette nouvelle phase. Une étape de type permacole permettait à ce coin de nature de s’exprimer librement tout en étant investi par des plantations d’herbes médicinales, d’arbres fruitiers ou non, de jachères fleuries…

Et comme si la tache n’était pas assez pharaonique, voici que deux hectares de terrain agricole sont venus s’ajouter à l’hectare déjà existant. Le jardin, le verger, mais désormais les plantations à plus large échelle, ainsi que la petite forêt et le pré en jachère ont offert à la maison un nouveau soleil couchant.

Et puis, écovolontariat et ses nombreux protagonistes – à ce jour, une cinquantaine de personnes – sont venues nous porter plus loin et plus vite. Le travail de la terre et de la rénovation a vu le jour grâce à cette expérience participative.

L’ensemble des choix de matériaux ainsi que des méthodes de mise en oeuvre a été fait dans une attention accrue quant à une cohérence écologique. De nombreuses heures ont été consacrées à récupérer et à restaurer ce qui pouvait l’être. Le choix de la paille est un bon exemple de la dynamique de rénovation qui nous anime. Elle répondait à nos attentes quant à l’isolation thermique et sonore. Le bois calciné en lieu et place des lasures chimiques, la chaux plutôt que le ciment, la liste serait longue, mais la philosophie de mise en oeuvre a permis d’avancer sur les réfections en jouant la carte de la qualité efficiente et de l’écologie. 

A ce jour, il reste encore de la route à faire, mais l’écrin de Terra Artemisia accueille d’ores et déjà des stages pour la formation continue des thérapeutes dans les soins para-médicaux, des résidences d’artistes, des workshops, des classes vertes,  des événements culturels et artistiques, des séminaires et des conférences.

L’aventure Terra Artemisia continue…